Et si entretenir sa masse musculaire était un facteur clé pour préserver ses capacités cognitives avec l’âge ? C’est ce que suggère une récente étude qui établit un lien entre une masse maigre élevée et un risque réduit de développer la maladie d’Alzheimer. De quoi nous motiver à prendre soin de nos muscles, au-delà des simples considérations esthétiques !
Une masse musculaire préservée, un atout contre Alzheimer
Publiée dans la revue BMJ Medicine, l’étude a analysé les données génétiques de plus de 450 000 participants de la UK Biobank. Les chercheurs ont ainsi pu mesurer la masse musculaire maigre des sujets, c’est-à-dire la quantité de muscles sans prendre en compte la graisse.
Résultat : les personnes qui présentaient une masse maigre plus élevée tout au long de leur vie avaient en moyenne 12% de risques en moins de développer la maladie d’Alzheimer. Elles obtenaient également de meilleures performances aux tests cognitifs.
Si des recherches supplémentaires sont nécessaires pour comprendre les mécanismes en jeu, plusieurs hypothèses sont avancées. La masse musculaire pourrait aider à améliorer des facteurs de risque comme la résistance à l’insuline ou l’hypertension. Certaines protéines sécrétées lors des contractions musculaires, les myokines, auraient également un effet protecteur sur les neurones.
Zoom sur les facteurs qui influencent notre capital musculaire
Notre quantité de muscles dépend de facteurs génétiques, mais pas seulement. L’alimentation et l’activité physique jouent un rôle crucial pour développer et entretenir sa masse musculaire, à tout âge. Voici quelques conseils à mettre en pratique :
- Misez sur la musculation : 2 à 3 séances par semaine permettent de stimuler la synthèse des protéines musculaires et de lutter contre la fonte musculaire liée à l’âge (sarcopénie).
- Augmentez vos apports en protéines : privilégiez les sources de qualité (viandes maigres, poissons, œufs, légumineuses…) et répartissez-les sur la journée, en commençant dès le petit-déjeuner.
- Restez actif au quotidien : marche, jardinage, ménage… Même à intensité modérée, l’activité physique régulière aide à préserver la masse musculaire et les fonctions cognitives.
Stimuler son cerveau, l’autre pilier de la prévention
Parallèlement au renforcement musculaire, gardez votre cerveau en alerte en multipliant les activités stimulantes :
- Apprenez de nouvelles choses en vous inscrivant à un cours ou en pratiquant un loisir inédit
- Jouez à des jeux de société, d’énigmes, de mémoire…
- Entretenez une vie sociale riche et variée
Enfin, veillez à consommer suffisamment d’aliments bons pour le cerveau : kéfir, lentilles, noix de cajou, baies, micro-pousses… En complément, vous pouvez envisager une cure de compléments alimentaires spécifiquement formulés pour soutenir les fonctions cognitives.
En résumé, prendre soin de ses muscles, c’est aussi prendre soin de son cerveau ! Une mass musculaire préservée pourrait réduire jusqu’à 12% le risque de développer la maladie d’Alzheimer. Alors, à vos altères et fourchettes pour muscler votre capital santé sur le long terme.
Résultat : les personnes qui présentaient une masse maigre plus élevée tout au long de leur vie avaient en moyenne 12% de risques en moins de développer la maladie d’Alzheimer. Elles obtenaient également de meilleures performances aux tests cognitifs.
Si des recherches supplémentaires sont nécessaires pour comprendre les mécanismes en jeu, plusieurs hypothèses sont avancées. La masse musculaire pourrait aider à améliorer des facteurs de risque comme la résistance à l’insuline ou l’hypertension. Certaines protéines sécrétées lors des contractions musculaires, les myokines, auraient également un effet protecteur sur les neurones.
Zoom sur les facteurs qui influencent notre capital musculaire
Notre quantité de muscles dépend de facteurs génétiques, mais pas seulement. L’alimentation et l’activité physique jouent un rôle crucial pour développer et entretenir sa masse musculaire, à tout âge. Voici quelques conseils à mettre en pratique :
- Misez sur la musculation : 2 à 3 séances par semaine permettent de stimuler la synthèse des protéines musculaires et de lutter contre la fonte musculaire liée à l’âge (sarcopénie).
- Augmentez vos apports en protéines : privilégiez les sources de qualité (viandes maigres, poissons, œufs, légumineuses…) et répartissez-les sur la journée, en commençant dès le petit-déjeuner.
- Restez actif au quotidien : marche, jardinage, ménage… Même à intensité modérée, l’activité physique régulière aide à préserver la masse musculaire et les fonctions cognitives.
Stimuler son cerveau, l’autre pilier de la prévention
Parallèlement au renforcement musculaire, gardez votre cerveau en alerte en multipliant les activités stimulantes :
- Apprenez de nouvelles choses en vous inscrivant à un cours ou en pratiquant un loisir inédit
- Jouez à des jeux de société, d’énigmes, de mémoire…
- Entretenez une vie sociale riche et variée
Enfin, veillez à consommer suffisamment d’aliments bons pour le cerveau : kéfir, lentilles, noix de cajou, baies, micro-pousses… En complément, vous pouvez envisager une cure de compléments alimentaires spécifiquement formulés pour soutenir les fonctions cognitives.
En résumé, prendre soin de ses muscles, c’est aussi prendre soin de son cerveau ! Une mass musculaire préservée pourrait réduire jusqu’à 12% le risque de développer la maladie d’Alzheimer. Alors, à vos altères et fourchettes pour muscler votre capital santé sur le long terme.
