Croquante et savoureuse pour certains, trop salée et coriace pour d’autres, la peau du saumon ne laisse personne indifférent. Mais au-delà des préférences gustatives, cette fine pellicule recèle-t-elle de réels bienfaits nutritionnels ? Faut-il systématiquement la laisser ou l’ôter avant dégustation ? Nous avons posé la question à trois experts en nutrition.
Des atouts santé insoupçonnés
Loin d’être un simple emballage, la peau du saumon regorge de nutriments essentiels. Élaborée à partir de collagène, de phospholipides et de cellules à mucus, elle protège le poisson des pathogènes et lui donne sa structure.
Mais son véritable trésor se niche dans ses acides gras oméga-3, en particulier l’EPA et le DHA, concentrés dans la peau et la couche adipeuse située juste en dessous. Des lipides bénéfiques trop souvent négligés dans notre alimentation.
La peau du saumon renferme aussi des protéines de collagène, précieuses pour la santé de la peau et des articulations. Cuisiner le poisson avec sa peau permettrait également de mieux préserver ses nutriments, comme la vitamine D, le potassium, la vitamine B12, lors de la cuisson.
Des techniques pour une peau croustillante à souhait
Pour profiter pleinement des bienfaits de la peau de saumon, encore faut-il savoir la préparer. Voici quelques astuces de chefs pour une cuisson optimale :
- À la poêle : saisir le filet côté peau dans l’huile d’avocat bien chaude, puis retourner une fois la chair presque cuite.
- Au four : préchauffer à 230°C, cuire le saumon côté peau pendant 15 min, passer au gril pour 2-5 min de cuisson supplémentaires.
- En sauce : mijoter le poisson entier dans un bouillon ou un curry pour attendrir la peau.
- En conserve : les saumons en boîte gardent souvent leur peau, facile à incorporer dans des croquettes !
Pour éviter que la peau n’accroche, un chef étoilé conseille de placer un morceau de papier sulfurisé huilé sous le filet lors de la cuisson. Un tour de passe-passe infaillible !
Gare aux contaminants
Revers de la médaille, la peau du saumon peut aussi concentrer certains polluants liposolubles comme les PCB. Une problématique surtout pour le saumon d’élevage, bien que tout dépende de sa provenance.
En définitive, la peau de saumon mérite amplement sa place dans nos assiettes. Gorgée d’oméga-3, de protéines et de vitamines, elle optimise la valeur nutritionnelle de ce poisson déjà très sain. À condition de choisir des sources fiables et de maîtriser quelques techniques de cuisson !
Saumon Sauvage Pacifique | Faible en contaminants | Meilleur choix selon Seafood Watch |
Saumon Sauvage Atlantique | Potentiellement plus pollué | À consommer avec modération |
Saumon d’Élevage | Teneur en toxines variable | Privilégier les fermes durables |
Alors, prêts à croquer la peau de votre prochain pavé de saumon ? Faites-nous part de vos recettes et astuces préférées pour la sublimer !
En définitive, la peau de saumon mérite amplement sa place dans nos assiettes. Gorgée d’oméga-3, de protéines et de vitamines, elle optimise la valeur nutritionnelle de ce poisson déjà très sain. À condition de choisir des sources fiables et de maîtriser quelques techniques de cuisson !
Saumon Sauvage Pacifique | Faible en contaminants | Meilleur choix selon Seafood Watch |
Saumon Sauvage Atlantique | Potentiellement plus pollué | À consommer avec modération |
Saumon d’Élevage | Teneur en toxines variable | Privilégier les fermes durables |
Alors, prêts à croquer la peau de votre prochain pavé de saumon ? Faites-nous part de vos recettes et astuces préférées pour la sublimer !
Pour consommer sereinement, privilégiez les saumons labellisés MSC (pêche durable) et suivez les recommandations du Seafood Watch sur les meilleurs choix. Aux États-Unis, le saumon sauvage du Pacifique (Washington, Alaska) reste une valeur sûre.
Peau de saumon : oui, mais pas à tout prix !
En définitive, la peau de saumon mérite amplement sa place dans nos assiettes. Gorgée d’oméga-3, de protéines et de vitamines, elle optimise la valeur nutritionnelle de ce poisson déjà très sain. À condition de choisir des sources fiables et de maîtriser quelques techniques de cuisson !
Saumon Sauvage Pacifique | Faible en contaminants | Meilleur choix selon Seafood Watch |
Saumon Sauvage Atlantique | Potentiellement plus pollué | À consommer avec modération |
Saumon d’Élevage | Teneur en toxines variable | Privilégier les fermes durables |
Alors, prêts à croquer la peau de votre prochain pavé de saumon ? Faites-nous part de vos recettes et astuces préférées pour la sublimer !
Pour consommer sereinement, privilégiez les saumons labellisés MSC (pêche durable) et suivez les recommandations du Seafood Watch sur les meilleurs choix. Aux États-Unis, le saumon sauvage du Pacifique (Washington, Alaska) reste une valeur sûre.
Peau de saumon : oui, mais pas à tout prix !
En définitive, la peau de saumon mérite amplement sa place dans nos assiettes. Gorgée d’oméga-3, de protéines et de vitamines, elle optimise la valeur nutritionnelle de ce poisson déjà très sain. À condition de choisir des sources fiables et de maîtriser quelques techniques de cuisson !
Saumon Sauvage Pacifique | Faible en contaminants | Meilleur choix selon Seafood Watch |
Saumon Sauvage Atlantique | Potentiellement plus pollué | À consommer avec modération |
Saumon d’Élevage | Teneur en toxines variable | Privilégier les fermes durables |
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